La filature #2 _ par Hippo
Pour retrouver le premier épisode clique ici.
Vous arrivez chez lui. Vous entrez, et moi je gare ma voiture et j’attends.
Que faire ? Je sors de la voiture et je fais discrètement le tour de la maison.
C’est un pavillon à quatre façades et le jardin qui l’entoure est parsemé de buissons. J’essaie de vous voir à travers les fenêtres.
Je suis fébrile. Cela fait déjà 20 minutes que vous êtes là.
Derrière un buisson plus grand que moi, je distingue la silhouette d’une porte-fenêtre, dont un des battants est grand ouvert. Le buisson est suffisamment aéré pour que je puisse m’y glisser. Je regarde alors la pièce par le battant ouvert : c’est une chambre à coucher avec un grand lit. C’est alors que la porte de la chambre s’ouvre et vous apparaissez, toi suivie par Alex.
A peine avez-vous passé le seuil de la chambre qu’Alex t’agrippe par les épaules et te colle rudement dos au mur juste à côté de la porte. Tu sembles pétrifiée, hypnotisée. Il attrape les deux pans de ton col, et d’un geste violent, il ouvre ta robe, arrachant quelques boutons au passage. Tu apparais nue sous ta robe, puisque tu as déjà perdu ton string au café, et que tu n’as pas jugé utile de mettre un soutien-gorge. Qu’est-ce que tu es belle…. Je bande.
Toujours bloquée dos au mur, Alex se colle à toi et t’embrasse fougueusement.
D’une main, il te saisit une jambe à l’arrière du genou et la soulève le plus haut possible. Dans cette position, ton sexe est complètement exposé, y compris à mon regard. Je peux même discerner la luisance de ta cyprine qui s’est répandue sur toute la zone.
En te maintenant dans cette position, Alex, toujours habillé, vient écraser son entrejambe contre ton cocon d’amour et bouge son bassin comme s’il te faisait déjà l’amour. Ton visage a maintenant une expression de folie, tes cheveux ébouriffés le balaient en tous sens. Ça m’excite suprêmement de te voir t’abandonner comme ça. A tel point que je défais ma ceinture et que j’ouvre mon pantalon pour caresser ma verge tendue et raide comme un bâton.
La main d’Alex saisit tes cheveux et les manœuvre rudement, de façon à ce que tu te mettes à genoux. Il te donne l’ordre de te caresser, et tes deux mains se précipitent dans la fourche de tes jambes pour y prodiguer des caresses torrides. Entre temps, Alex défait sa ceinture et son pantalon, puis descend celui-ci ainsi que son boxer. Sa verge longue et raide est à quelques millimètres de ton visage.
– Prends-moi dans ta bouche !
Par réflexe, tes mains abandonnent ton cocon d’amour pour se saisir du membre viril. Alex te gifle.
– Sans les mains ! Rien que ta bouche ! Continues à te caresser comme une jolie petite salope !
Tes mains obéissantes reprennent donc leurs caresses tandis que tu ouvres la bouche pour englober le gland tuméfié d’Alex. Tu apprécies la fellation et ça se voit clairement, rien qu’à l’application que tu y mets. Tu utilises tes lèvres et ta langue, et tu alternes les approches, tantôt en passant ta langue sur toute la longueur de la verge, tantôt en enfonçant celle-ci le plus loin possible au fond de ta gorge, tantôt en lui faisant des bisous, ou encore en léchant les bourses.
Pendant ce temps, tes mains ne sont pas en reste, puisque deux de tes doigts sont encastrés dans ton cocon et s’y agitent en provoquant de petits bruits humides, pendant que l’autre main titille ton clitoris à un rythme effréné.
Quant à ma main, à la vue du spectacle, elle serre mon membre à travers mon boxer.
Alex en veut plus. Il saisit de nouveau tes cheveux et pousse ta tête pour la bloquer contre le mur. Puis il entame des va-et-vient dans ta bouche, de plus en plus fort, de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Tu sembles apprécier cette agressivité, cette brutalité. La plus grande partie de la verge d’Alex disparaît dans ta bouche, et de temps en temps, lorsqu’il est tout au fond, il s’arrête quelques secondes, jusqu’à ce que tu aies une sorte de haut-le-cœur, après quoi, il se retire et recommence plusieurs fois.
En plus, puisque tes doigts ont continué leur œuvre au fond de ton ventre, tu as du mal à gérer ta respiration devenue saccadée.
Alex sent que tu es toute proche de l’orgasme.
Il décide alors de se retirer de ta bouche, et t’invite la main tendue pour délicatement t’aider à te relever.
Lorsque tu es debout, il saisit les doigts qui ont officié dans ton sexe et les porte à sa bouche pour se délecter du goût de ton intimité.
Puis, tes deux mains saisissent la tête d’Alex de part et d’autre, et tu approches ton visage pour l’embrasser à pleine bouche, fougueusement, comme une véritable furie. Il en profite pour caresser tes beaux petits seins et pour taquiner tes tétons gonflés par l’excitation. J’arrête un moment de me toucher la verge par crainte d’éjaculer dans mon boxer.
Lorsque votre baiser s’arrête, tu te dégages de l’emprise d’Alex et te diriges vers le lit tout en retirant ta robe devenue définitivement inutile.
Tu te couches sur le lit, sur le dos et tu écartes les cuisses le plus possible, invitant de la sorte ton partenaire à venir lécher ton petit minou. Je suis bien placé pour savoir que tu adores ça. Alex se place à genoux entre tes cuisses, il te replie les jambes et les repousse vers tes épaules, il descend son visage vers ton triangle de Venus, et puis très lentement plus bas pour longuement et délicatement parcourir tes lèvres avec sa langue, de haut en bas et de bas en haut. Ses coups de langue se font ensuite un peu plus appuyés, l’introduisant régulièrement dans ton sillon.
Puis, à l’aide de ses doigts il écarte tes lèvres pour se concentrer sur ton bouton d’amour. Il lèche et mordille ton clitoris. Je le vois régulièrement faire pénétrer sa langue dans l’intimité de ma petite fée, et tu l’encourages à la plonger plus profondément en toi. Ton visage a de nouveau cette expression de folie, tu fais rouler ta tête à droite et à gauche avec des mouvements saccadés et incontrôlés. Tes deux mains se sont fermement emparées de tes seins pour les presser et les caresser. Puis tu saisis tes tétons gonflés entre tes doigts pour alternativement les étirer, les pincer, les faire rouler.
Alex continue à te triturer ton bouton d’amour avec sa bouche. La tornade de toutes les sensations que tu ressens sur ton corps te fait souffler, gémir, haleter, crier, et affaiblit ta résistance au plaisir qui s’annonce et se précise.
Brusquement tu te raidis et te mets à trembler en serrant tes cuisses autour de la tête d’Alex.
Tu gémis, tu cries des bribes de mots incompréhensibles. Tu frises la folie définitive.
Tu es emportée par un orgasme très violent. Tes cris sont déchaînés. Tu hurles ta jouissance puisque tu penses que personne d’autre qu’Alex ne peut les entendre. J’ai l’impression qu’avec moi, cela fait bien longtemps que tu n’as pas joui avec autant d’intensité. Depuis un certain temps, il est vrai que tu fais l’amour avec moi uniquement pour me faire plaisir. En tout cas, c’est comme ça que je le ressens.
Alex met à profit la lente descente de ton orgasme pour se positionner entre tes cuisses bien ouvertes et présenter sa queue à l’entrée de ton joli sexe soigneusement épilé, ta petite chatte toute luisante du mélange de ta cyprine et de la salive d’Alex. Tu lui dis quelque chose, il se relève pour prendre un préservatif dans le tiroir de la table de chevet. C’est bien ! Même dans la plus grande excitation, tu restes lucide. Je suis un peu rassuré.
Alex déroule le préservatif sur sa hampe qui, vue d’où je me trouve me semble assez impressionnante. Puis il la présente à l’entrée de ton sexe, et t’empale d’une seule poussée lente et profonde. Une fois bien planté dans ton ventre, vous unissez vos bouches dans un baiser torride, puis il se met à aller et venir dans ton cocon soyeux et humide, lentement au début, puis de plus en plus rapidement. Il te pilonne à présent si fort que chaque poussée de sa verge dans le fond de ta grotte d’amour t’arrache un cri de plaisir presque inhumain.
Il remonte tes jambes et place tes mollets sur ses épaules, pour te pénétrer encore plus profondément. Tes yeux sont fixés sur les allées et venues de ce barreau incandescent entre tes chairs délicates. Ton regard reflète aussi bien ton impuissance à faire arrêter la dévastation de ton malheureux fourreau qu’une lueur de plaisir sadique à le voir se dilater et s’écarteler autour de cette matraque monstrueuse, cette queue toute luisante qui fouille avec vigueur ta jolie chatounette. Sous les assauts répétés d’Alex, je vois maintenant ton anus se dilater et s’ouvrir progressivement, à chaque coup de boutoir.
Je ne me suis pas du tout rendu compte qu’en contemplant ce son et lumière sexuel, ma main a sorti mon sexe de son boxer pour le masturber.
Je me surprends à éprouver du plaisir à vous regarder, malgré ma tristesse et mon désarroi. Tu es belle quand tu fais l’amour. Tu m’excites. Et voilà que j’ai un premier orgasme que je m’efforce de rendre discret tandis que mon épieu envoie de lourdes giclées de sperme un peu partout sur le feuillage du buisson où je me trouve.
Tu décides qu’il est temps de passer à autre chose. Tu te places à quatre pattes et tu lui demandes de te prendre en levrette. Accompagnant d’une main son sexe à l’entrée de ton orifice entrouvert, il s’introduit en toi. Cette position est très excitante ; la vision de ton joli petit cul pendant qu’il te pénètre lui fait beaucoup d’effet. Et toi, tu adores cette position, je le sais. Tu ne tardes pas à envoyer ton bassin à la rencontre de son sexe à chaque fois qu’il entre en toi. Tu es de plus en plus mouillée : son sexe entre de plus en plus facilement et profondément.
Tu gémis doucement.
Il resserre son étreinte, te tenant maintenant fermement par les hanches. Il te prend de plus en plus hardiment, encouragé par les petits cris qui t’échappent. Tu plonges la tête dans l’oreiller, encore plus cambrée, et ton sexe entièrement offert à sa vue et à la mienne. Tu es encore plus ouverte et sa pénétration est encore plus intense. Tu étouffes tes cris dans le coussin. Je suis hors de moi, incontrôlable, comme fou. Son pubis claque tes fesses à chaque pénétration.
La situation n’est plus sensuelle, mais charnelle, puissante : c’est une tornade qui va tout emporter sur son passage. Les deux mains d’Alex saisissent tes longs cheveux pour t’imposer un empalement encore plus insoutenable. Je regarde son sexe entrer en toi ; tu l’avales avec tant de facilité… Tes fesses tressautent à chaque coup qu’il martèle. C’est alors que son regard se fixe sur ton orifice le plus secret. C’est comme un électrochoc ! Une petite rondelle légèrement plissée qui se relâche et s’offre à son regard. Il ne peut plus tenir.
Pendant que tu reprends ton souffle, je vois Alex qui sort son membre de ta vulve et se dirige tout droit vers ton œillet. Il fait coulisser deux doigts dans ton cocon d’amour pour y récupérer un peu de ton humidité qu’il introduit ensuite facilement dans ton petit trou. Et là, il se met en position pour te sodomiser. Tu serres les cuisses, tu lui dis non. Il insiste et commence à te pénétrer. Tu te retournes d’un coup.
Je suis soulagé. J’aurais eu trop les boules qu’il te sodomise dès la première fois. Peut-être as-tu à ce moment-là une petite pensée pour moi.
Envisageant de reprendre ta fellation, tu lui enlèves le préservatif. Il n’en peut plus. Il ouvre le tiroir de la table de chevet et il y plonge la main qui en ressort armée d’un godemichet impressionnant. Sans tarder, il l’introduit au fond de ton ventre et active le petit interrupteur situé à sa base. Un bruit léger et continu se fait entendre, très vite couvert par tes gémissements provoqués par ses mouvements et vibrations.
Alex monte ensuite sur toi, toujours allongée sur le dos, bien offerte et il glisse sa queue entre tes seins. Tes mains rapprochent alors ceux-ci, l’enfermant bien confortablement dans cet étau de chair douce et chaude. Il se fait aller et venir, ne désirant que jouir, sa queue est tendue. Il entreprend alors une valse très agréable : il quitte tes seins et insère sa queue dans ta bouche qui ne se fait pas prier pour la sucer. Après plusieurs allers-retours de la sorte, il ne peut se contenir plus longtemps et jouit au-dessus de toi. Des jets de sperme jaillissent et se succèdent à n’en plus finir, se répandant sur ton ventre, sur tes seins, sur ton visage, dans tes cheveux.
Entre-temps le godemichet planté au fond de ton ventre a fait son office en t’envoyant directement à la case orgasme paradisiaque sans passer par la case départ.
Et moi-même je gicle aussi de façon généreuse sous l’action de ma main qui, sans consulter mon cerveau, avait repris les massages de mon sexe, pendant que je regardais en « live » cette prestation digne d’un film porno intense.
Lorsque tu as plus ou moins repris tes esprits, tu étales le sperme avec tes mains comme si tu t’enduisais d’une crème solaire. Puis tu en récupères sur deux de tes doigts que tu enfonces dans ta bouche pour les sucer avec la moue gourmande d’une gamine prenant plaisir à déguster sa friandise préférée.
Peut-être que ça te manque, ce genre de chose, avec moi.
Je regagne ma voiture, et me dirige vers un bar, où un bon remontant sera le bienvenu après ce que je viens de voir.
Tout en buvant mon verre, je me pose des questions : on va se voir demain, mais je ne pourrai pas dire que j’ai tout vu, j’aurais trop honte de m’être comporté comme un voyeur pervers.
Surtout en sachant le plaisir que j’ai éprouvé en me comportant de la sorte. Est-ce que tu me diras ce qui s’est passé ? Auras-tu encore envie de moi ? Feras-tu l’amour avec moi en pensant à lui ? Combien de temps pourras-tu continuer dans cette situation ? Allez-vous vous revoir ?
Je suis complètement défait, je me rends compte que je ne veux pas te perdre.
Il m’aura fallu vivre cela pour tomber éperdument amoureux de toi.