Un Goût de Caramel Salé, Escapade Bretonne
C’est à Saint-Brieuc que je pose ma valise pour quelques jours, le temps de boucler mon séminaire du mois. Une première pour moi, et l’occasion de prendre du temps pour moi, loin de la routine habituelle.
Je l’ai rencontré sur un site de rencontres. Loïc… Un nom qui sonne déjà comme une invitation. Son profil m’a intriguée : ses photos, ses mots, sa manière de se décrire, à la fois simple et mystérieuse. Il vit ici, à Saint-Brieuc, il est ébéniste. Un homme qui aime la matière, qui façonne les choses, je trouve ça séduisant.
Il me propose qu’on se retrouve ce soir
Dans un petit restaurant typique, une crêperie, où l’on mange des galettes avec du cidre. C’est un peu cliché, mais j’aime l’idée. Pourquoi ne pas succomber à la carte postale bretonne ? Je suis toute excitée par cette rencontre. Je me demande si ça va être aussi intense que dans nos messages.
Bref, en cette soirée d’hiver, j’enfile un pull à col roulé, un jean slim, et mes bottes. Puis, je quitte mon hôtel pour le rejoindre.
Je le vois arriver. Loïc… Il est encore mieux en vrai, et il a ce regard un peu sombre qui m’envoûte. Ses cheveux bruns sont un peu en désordre, une barbe de quelques jours qui lui donne un côté sauvage, et ses yeux… Ses yeux bleu-gris, qui m’observent d’un air à la fois curieux et malicieux.
On parle de tout et de rien, de son métier, de la mer, de la Bretagne. J’écoute sa voix, elle me captive. Il est à l’aise, naturel. Et moi… La chaleur du cidre, l’odeur du beurre salé, tout cela me fait tourner la tête. Je laisse mes pensées dériver, m’imaginant déjà comment cette soirée pourrait finir.
Mais c’est après le dîner que la tension commence à se faire plus palpable. Il me propose une promenade. Après quelques minutes de route, nous arrivons à la plage des Rosaires. À cette heure, elle est déserte, la brise est fraîche, mais tant pis, je retire mes bottes pour être pieds nus dans le sable. J’adore cette sensation …

L’air marin me donnent une sensation de liberté, d’évasion.
On marche côte à côte, mais je sens bien que le silence entre nous devient plus lourd, plus électrisant. Nos pas s’entrelacent sans que l’on ne s’en rende vraiment compte.
Puis, il s’arrête. Ses yeux se posent sur moi, profonds, incisifs. Il s’approche lentement, et avant même que je puisse réagir, il pose ses mains sur mes hanches et me guide vers les rochers. Il y a une légère montée d’adrénaline, l’air frais m’entoure, mais sa chaleur m’envahit déjà.
Je lève les yeux, nos visages sont si proches. Et il m’embrasse. D’abord doucement, mais le baiser devient rapidement plus pressant, plus insistant. Mes mains se glissent dans ses cheveux, je sens la texture de ses mèches entre mes doigts. Le contraste entre la froideur du rocher et la chaleur de son corps me trouble, me rend encore plus présente à l’instant.
Sa main glisse sous mon pull, et rencontre la dentelle de mon bustier, palpe mon sein. Il me glisse à l’oreille qu’il a hâte de découvrir ma lingerie. Je gémis rien que d’y penser. Il presse son bassin contre moi, et je sens déjà son désir bien dur et à l’étroit dans son pantalon.
Nos baisers s’enchaînent,
Et sa main glisse vers mon jean, habile, il le déboutonne et glisse sa main.
Après quelques instants, tout est devenu flou autour de nous. La plage, le sable, le vent… Tout est oublié, excepté le corps de Loïc contre le mien, le goût de ses lèvres, l’étreinte qui m’embrase, et ses doigts experts dans mon intimité.
Mais juste à cet instant précis… Un aboiement perçant brise l’intensité du moment. Un petit chien déboule sur la plage en courant. Il s’arrête brusquement devant nous, la langue pendante, les yeux brillants. Son regard curieux et son agitation me font éclater de rire. Loïc sourit aussi, mais l’ombre d’un sourire amusé flotte sur ses lèvres.
Le chien continue de nous tourner autour, mais il commence à s’éloigner lentement, happé par les appels de son maître au loin. Nous décidons de nous rendre à mon hôtel pour poursuivre la soirée.
La chambre de l’hôtel Ibis n’a pas un charme fou,
Néanmoins elle fait l’affaire pour mon séjour breton. Loïc se rapproche de moi sans dire un mot, juste un regard, un regard qui en dit long. Je sens son souffle chaud, contre ma peau, et c’est tout ce dont j’ai besoin. Il est là, juste là, à un centimètre de moi. Ses mains, aussi sûres que son regard, glissent sur mes hanches. Il me prend doucement, mais fermement, et m’attire à lui.
Nos corps se frôlent, se cherchent, se consument. Le parfum légèrement salé de la mer qui me suit encore, tout ça me fait frissonner. Il retire mon pull, découvrant mon bustier en dentelle noir et rouge. Je ferme les yeux, appréciant le moment, et je sens ses lèvres effleurer mon cou, lentement, en y déposant des baisers qui chauffent chaque parcelle de ma peau.
Chaque geste de Loïc est calculé, mais d’une manière tellement naturelle. Je me laisse aller, je me laisse guider par lui, par ce désir qui m’envahit, qui me brûle de l’intérieur. Il me pousse doucement vers le lit, et je m’allonge, le regardant retirer son pull avec un regard qui ne laisse aucune place au doute. C’est lui que je veux, maintenant.
Il retire mon jean, qui dévoile le string assorti. Il me rejoint, son corps se superposant au mien, la chaleur de ses bras m’enveloppant alors qu’il m’embrasse à pleine bouche, avec une telle intensité que je perds toute notion du temps. Les draps sont frais, mais je me sens étouffée de désir.
Ses mains ne restent pas immobiles.
Elles glissent, explorent, caressent, et je frémis sous son toucher. Il est doux, mais il n’a pas peur de me faire comprendre que c’est lui qui mène le jeu. Et je me laisse faire, chaque mouvement accentuant la fièvre qui me consume, chaque baiser augmentant la passion.
Habile, il dégrafe mon bustier, sa main englobe mon sein, et sa bouche aspire mon mamelon. Sa langue jouant avec mon téton fièrement érigée. Je prends littéralement feu entre mes cuisses. Mon bassin ondule contre lui pour lui faire comprendre que j’en veux encore plus !
Je ne tiens plus, je le fais rouler sur le dos, et je me lève pour retirer son pantalon et son caleçon exposant son sexe tendu. Je retire mon string et je grimpe sur lui avec un regard brûlant … Apportant mon alcôve du plaisir à hauteur de sa bouche.
Loïc n’hésite pas, il attrape fermement mes hanches et sa bouche rencontre mon sexe. Mes mains agrippent la tête du lit, je ferme les yeux pour savourer ce cunni. Sa langue me fouille avec passion pendant de longues minutes. J’en veux encore plus ! Je décide de me retourner, lui laissant mes lèvres luisantes de plaisir à sa hauteur, pendant de me mets à aspirer son pénis avec une envie féroce.
Il recommence à me lécher.
Je gémis de surprise et de plaisir quand ses doigts me pénètrent en même temps. De mon côté, je glisse sur sa hampe avec ma bouche, mais je n’arrive pas à le prendre complètement en bouche à cause de sa longueur. Tant pis, je m’aide de ma main pour accompagner ma fellation.
Après un moment, je décide d’attraper un préservatif que j’avais laissé sur la table de nuit. Je déroule la capote sur sa queue aussi dure que du bois, et je m’empale dessus, pour mieux gérer la pénétration en douceur. Puis, plus en confiance, je prends le rythme et mon bassin ondule. Loïc m’embrasse, aspire mes seins. Je vais défaillir, le temps est comme figé, je ne ressens que le plaisir qui monte et me consume de l’intérieur.
Loïc me propose une levrette, alors je me place à 4 pattes, tandis qu’il présente sa queue à l’entrée de mon vagin. Il commence des mouvements longs et lents, qui me rendent folle. Je le veux en moi, plus vite, plus fort. Alors je pousse mes fesses vers lui, il s’en amuse, accélérant légèrement le rythme. Ses doigts glissant sur mon clitoris, s’imprégnant de ma cyprine pour aller doucement s’immiscer entre mes fesses caressant mon œillet interdit qui se resserre un peu plus. Il me rassure, il sait que je ne veux pas de sodomie, mais il ne fait que me caresser. Et pour m’aider à me détendre, il accélère la cadence. Je soupire de plaisir…
Il continue d’aller plus vite, plus loin, c’est intense.
Je ne tiens plus, je brûle de désir. Je me laisse aller et alors que je le sens jouir, j’enfouis la tête dans l’oreiller pour qu’il absorbe le gémissement puissant de mon orgasme.
Loïc se retire, et pendant qu’il s’occupe du préservatif, je m’allonge complètement sur le ventre, reprenant une respiration tranquille. Allongé a côté de moi, il me caresse, partout. Il esquisse un sourire, un sourire satisfait, presque secret, comme s’il venait de savourer chaque instant, chaque mouvement. « Ce que j’ai préféré… » dit-il doucement, sa voix rauque encore marquée par le plaisir.
Ses mots résonnent en moi, et avec ses caresses, déclenchent ce frisson tout au fond de mon ventre. Une chaleur se rallume, brève, mais intense, entre mes cuisses. Le désir refait surface, discret mais insistant.
Je ferme les yeux, la sensation de sa main explorant ma peau me fait frémir, et je sens sa vigueur qui se réveille, subtilement, contre ma peau. Je sais que ce n’est pas fini. Les mots qu’il a murmurés, le regard qu’il m’a lancé, tout ça me dit que la nuit ne fait que commencer.
Je m’appuie contre lui, son corps toujours chaud contre le mien, et je devine, dans l’air suspendu autour de nous, que la suite sera encore plus brûlante. La tension est palpable, prête à exploser de nouveau. La nuit promet d’être torride.
Ils sont vaillants ces Bretons !!!
Je me suis suprise a penser que le chien etait pénible !!! 🤣 🤣 🤣
Merci pour ce récit passionnant! 🙂