Piétine-moi !
Retrouvailles avec Marc
Après une journée épuisante, j’avais besoin de relâcher la pression. Rien de tel pour me changer les idées que de rendre visite à Marc, ma dévouée petite souillure, pour une petite séance bien méritée.
Pour l’occasion, j’avais choisi une tenue qui en imposerait : des collants à fines résilles, un body en latex ajusté qui soulignait mes courbes, et mes escarpins les plus hauts. Pour ne pas sortir à demie nue, j’ajoutai une jupe crayon et mon manteau, pris mon sac à main, et claquai la porte en partant.
Le claquement des talons sur 3 étages
Arrivée en bas de son immeuble, je sonnais sans réponse… Avec insistance, j’appuyais de nouveau sur la sonnette, quand l’ouverture de la porte se fit enfin ! Bien entendu, j’avais trouvé le seul soumis vivant au 3e étage sans ascenseur !
Je poussai la porte de son appartement sans frapper, en la claquant bien fort derrière moi. Marc m’attendait, à genoux au milieu de la pièce, vêtu d’un shorty en latex. Sur la table basse à côté de lui, une petite clé m’attendait – il avait donc bien enfilé sa cage de chasteté, comme je l’avais exigé.
Encore énervée par ma journée, je laissai ma frustration s’exprimer un instant, en lui signifiant mon mécontentement d’avoir attendu en bas et gravi trois étages, perchée sur 12 cm. JJe retirai mon manteau, m’approchai de lui, et sortis de mon sac un collier en cuir noir. Je le passai autour de son cou, scellant notre accord. Il s’agenouilla à mes pieds, embrassant mes escarpins en me remerciant de l’avoir choisi.
« Ça suffit, » dis-je en le repoussant du pied. « Aide-moi à retirer cette jupe. »
« Oui, Maîtresse Anna, » répondit-il immédiatement.
J’en profitai pour vérifier la mise en place de sa cage, palpant son shorty. En m’installant sur le canapé, je lui fis retirer le bout de tissu qui la recouvrait, admirant la cage en acier emprisonnant son sexe et le petit cadenas doré.D’un air espiègle, je lui demandai la clé… que je vins placer dans mon décolleté. Vous n’avez quand même pas cru que j’allais le libérer de sitôt ?!
Piétine-moi
Je lui ordonnai de retirer mes escarpins et de s’occuper de mes pieds fatigués. Il s’assit en tailleur à mes pieds pour saisir ma cheville. Fétichiste d’escarpin, de talons et de collants, il pressa sa joue contre le vernis brillant, comme s’il vivait un moment d’ultime bonheur. Il retira ma chaussure, puis la seconde. Il huma mes collants un pied après l’autre, pendant que je détendais mes orteils contre son visage. Sa respiration se fit plus forte. Alors, en bon esclave, il me massa les pieds, s’appliquant sur la plante des pieds en expert. Passionné, il y frottait son visage. Il prenait vraiment beaucoup de plaisir, peut être un peu trop… Mon pied se colla à son visage et le repoussa jusqu’au sol.
« stop, fais moi un thé et apporte moi de la lecture ».
Je remis mes escarpins et allai m’installer sur le tabouret du bar dans sa cuisineEn toute hâte, il me déposa une pile de magazines féminins avec un « Pour vous, Maîtresse » puis posa une tasse d’eau fumante et un assortiment de sachets de thé. Évidemment, je fis tomber l’emballage et lançai : « Ramasse, petite souillon. »
À quatre pattes sous le bar pour attraper le papier, mon talon se posa sur son dos, le faisant sursauter. « Au sol souillon ». Il s’allongea, nu, sur le carrelage. De la pointe de mon talon, je glissai le long de sa colonne, appuyant un peu plus sur ses fesses, avant de commencer à piétiner son dos. Tout en buvant mon thé et feuilletant les magazines, je laissai des traces rouges sur sa peau, appuyant de ma semelle pour marquer mon autorité. De temps à autre, je commentais mes lectures, exigeant des réponses et appuyant plus fort s’il osait ne pas me satisfaire. La petite séance de trampling dura le temps que je termine ma tasse.
Fin de séance
De retour au salon, je claquai chaque pas avec soin, rappelant à Marc sa place. J’attrapai ma jupe, l’appelant pour qu’il m’aide à la remettre. Son sexe emprisonnée réclamait de sortir pour exprimer son désir.
Je le pris par l’épaule, le forçant à se mettre à genoux. Prenant son visage entre mes mains, je le félicitai d’avoir été une bonne souillon. Son visage s’illumina d’un sourire et il répondit avec un « Merci, Maîtresse Anna. »
Avec un petit sourire en coin, je plongeai dans mon décolleté, attrapai la clé, et la jetai entre ses jambes. Je pris mon sac et mon manteau, lâchant un « Tu pourras retirer ta cage uniquement quand tu entendras claquer la porte de l’immeuble. À bientôt, mon cher. »
Je pris mon temps pour descendre les trois étages, accentuant le bruit de mes talons à chaque marche, imaginant son désir grandissant. Une fois arrivée en bas, je laissai la porte de l’immeuble entrouverte un instant, avant de la claquer bruyamment.